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Définir le Premier manga français est très compliqué, suivant la définition qu'on décide de prendre.
Par exemple en 2000, Mœbius écrit Icare pour Jiro Taniguchi. Peut-on le définir comme un manga Franco-japonais ? Déjà là, l'appellation "manga français" soulève des questions. 2/
2003 est aussi l'année de publication de Sentaï school (après une prépublication en 2002 dans le coyote magazine) 4/
Avant d'aller plus loin il est nécessaire de rappeler que l'incursion du manga dans la bd apparait déjà depuis quelques temps. Par exemple, en 2001 , Trantkat et Jd Morvan sortent HK très influencé graphiquement par ce qui se fait au japon. 5/
BB project et Debaser sont également des exemples de séries ayant dépassé les 3 tomes durant cette période /9
En 2013, alors que la majorité des sorties semble être graphiquement inspiré du Japon. Lastman s'en exempte. Elle reste néanmoins fidèle au "manga" sur son format, son découpage et sur son récit. La série a d'ailleurs du mal à trouver son public 12/
D'ailleurs, pour beaucoup, Lastman n'est pas un manga.
Le grand publique semble alors réticent au propositions trop éloigné de ce qu'ils considère graphiquement comme du manga. Pourtant la pluralité des styles, ce n'est pas ce qu'il manque au japon. 13/
D'un autre coté, aux yeux d'un certains publique, le manga français semble manquer de variété. Pourtant, les propositions, de la part des auteurs comme des éditeurs, est de plus en plus riches. 14/
En réalité, il y a du snobisme des deux cotés. Toujours à se demander ce qui est ou non manga. Aujourd'hui de plus en plus d'éditeurs sont ouvert aux propositions d'auteurs, mais il est encore difficile de trouver son publique 15/