[14/07/2022], Matsukoma, Hashimoto, « Nîche-sensei - Konbini ni satori sedai no shinjin ga maiorita » (2013-en cours)
Un jeune employé qui vient d'être recruté dans un konbini doit s'habituer à son collègue à la caisse qui n'arrête pas de citer Nietzsche à tout va.
[13/07/2022], Ikuhara Kunihiko, Morishima Akiko, « Yuri kuma arashi » (2014-2016)
Traduction littérale du titre : "la tornade des ours lesbiens". Ça donne une idée de l'excentricité de cette série, qu'on connaît davantage sous la forme d'un exceptionnel dessin animé.
[11/07/2022], Sagara Shunsuke, Sonoda Mitsuyoshi, « Akatsuki Sentôtai » (1968-69)
Vous reprendrez bien un peu de kamikazes ?
Les exploits d’un petit régiment de l’armée de l’air japonaise basé en Nouvelle Guinée dont les membres sont constamment au combat contre des avions US.
En voyant le nom de Furuya sur la couverture, j'avais un peu d'espoir pour cette biographie d'Akihito. Hélas, le résultat ressemble plutôt à une hagiographie, très lisse et sans saveur.
1/x
[10/07/2022], Kariya Tetsu, Ikegami Ryôichi, « Otoko- gumi » (1974-79)
La réponse de la revue "Sunday" au manga précédent🔼. Le tout dans une violence amplifiée par des techniques d'arts martiaux, des armes... et beaucoup de morts.
[09/07/2022], Motomiya Hiroshi, « Otoko ippiki gaki daishô » (1968-73)
L'un des premiers succès de la revue "Jump" était déjà un manga de bagarre entre garçons. Des rivalités qui s'étendent sur 20 tomes + un dessin animé + un film live.
[08/07/2022], Kobori Yô, Kanô Seisaku, « Hittorâ no musuko » (1980)
Les nazis ont survécu et Hitler a été cloné ! Heureusement, les services secrets israéliens sont sur le coup.
Un bon nanard en gekiga, soutenu par les beaux dessins de Kanô Seisaku.
[06/07/2022], Yokoyama Masamichi, « Iroke mangan » (1979)
Yokoyama est le spécialiste du contournement de la censure japonaise. Même les tuiles de mahjong peuvent devenir prétexte à toutes les interprétations...
(c'est à peu près le pitch de ce manga😅)
[05/07/2022], Shimamoto Kazuhiko, « Asuka@miraikei » (2009-2010)
Plutôt connu comme un auteur de mangas comiques, Shimamoto s'essaie à la comédie SF dans ce récit très classique où un nouvel élève arrive en cours d'année dans un lycée et annonce à sa classe qu'il vient du futur.
[04/07/2022], Ikegami Ryôichi, « Supaidâman » (1970-1971)
L'un des premiers mangas de Ikegami. Pas une histoire de yakuzas dont il est aujourd'hui le spécialiste, mais une réinterprétation de Spider-man. Entre le récit horrifique et le journal intime.
[03/07/2022], Ôwada Hideki, « Mudazumo naki kaikaku » (2006-2015)
Dans l'univers parallèle des revues de mangas de mahjong, il existe ce titre dans lequel l'ancien Premier ministre Koizumi affronte à ce jeu de société les dirigeants mondiaux les plus redoutables.