[24/01/2022] Himaruya Hidekazu, "Hetalia Axis Powers" (2008-2013).
Un drôle de manga en 4 cases qui se situe pendant la Seconde Guerre mondiale et qui représente des nations anthropomorphisées. On n'y suit surtout la relation asymétrique (façon seme / uke) Italie / Allemagne.
[23/01/2022] Oshimi shûzô, « Hyôryû Netto kafe » (2009-2011)
Oshimi (« Les liens du sang », etc.) s’essaye au survival : dans un Net Café, 20 personnes se retrouvent piégées à la suite d’une inondation. Quand ils sortent, l'horizon est recouvert d'eau.
[22/01/2022] Yamamoto Naoki, "Red" (2006-2018)
Une reconstitution des parcours personnels des manifestants anti-anpo qui ont basculé vers le terrorisme rouge au début des années 1970. Narration organisée comme un compte à rebours dont on connait l'issue tragique (affaire Asama)
[21/01/2022] Tanaka Keiichi, "Utsunuke" (2017)
Changement de ton par rapport à ce que dessine d’ordinaire Tanaka. Il y a toujours des blagues, certes, mais le sujet - la dépression et comment en sortir - tranche avec la légèreté qu'on lui connait.
[20/01/2022] Tanaka Keiichi, "G no samurai" (2016)
Que se passe-t-il quand un samurai et un aristocrate (tous deux puceaux) se retrouvent condamnés à l'exil sur une île déserte ?
Dans un déluge de gags graveleux, Tanaka s'amuse à parodier les classiques du gekiga historique.
[19/01/2022] Hirokane Kenshi, « Kaji Ryûsuke no gi » (1991-1998)
Shima Kôsaku version député.
Une incursion dans les méandres de la politique japonaise : gérontocratie, magouille et assassinats. Kaji va-t-il réussir à éviter les coups bas et devenir Premier ministre ?
[18/01/2022] Hirokane Kenshi, « Kachô Shima Kôsaku » (1983-1992)
Premier opus d'une longue saga. Toute la réussite japonaise des années 1980 à partir d'un récit de salaryman : l’ascension sociale, les voyages d’affaires à l’étranger, les bons restos et les parties de golf.
[16/01/2022] Koyama Yû, « Ganbare Genki » (1976-1981)
Le grand manga de boxe post-Ashita no Joe. Moins un supokon qu’un drame humain dans lequel le petit Genki fait preuve d'une résilience à toute épreuve. Sur ce point, ressemble un peu à "Touch" publié dans la même revue.
[15/01/2022] Saitô Takao, Togawa Isamu, « Daisaishô » (Les grands Premiers ministres) (1988-1991)
Juste après sa version manga de l’autobiographie du fondateur de Sony, Saitô dessine une histoire du Japon d’après-guerre en mettant en avant ses politiciens les plus illustres.
[14/01/2022] Shirato Sanpei, « Bakkosu » (Bacchus) (1976-1978)
Après avoir dessiné le Japon féodal, Shirato emmène le lecteur dans une tribu reculée d’Afrique orientale au début du 19e siècle. Une fresque ethnologique qui suit deux enfants aux noms prédestinés : Bacchus et Zeus.
[13/01/2022] Sugaya Mitsuru, "Game Center Arashi" (1978-1984)
Transposition étonnante et amusante du monde du jeu vidéo en bande dessinée, alors que le Japon est en plein boom du jeu d'arcade.
Techniques secrète du héros : appuyer sur les boutons avec ses dents proéminentes...
Tôka raconte son parcours compliqué dans ce manga autobiographique (c'est gratuit et en ligne !) :
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