L'excellent "Hoshi dans le jardin des filles". Ton décalé et humour pince-sans-rire.
Techniquement, c'est impressionnant : le rythme, la composition intelligentes des pages, les petits détails intra-bulle, les onomatopées, les niveaux de gris. Tout est impeccable. ⤵️ https://t.co/PDy8hB0mkL
Toujours cette tension dans le regard des personnages d'Oshimi.
Sinon cet été, j’ai lu les 4 tomes « Majime na kaishain » de Fuyuno Umeko.
L’histoire d’Amiko, une provinciale de 29 ans installée à Tôkyô qui a choisi un job tranquille en CDD et qui espère en même temps s’intégrer au milieu arty de la capitale, sans vraiment y arriver.
1/
Ça ne m'avait pas autant impressionné sur "le Livre jaune" (il faut que je relise), mais le style de l'autrice est d'une finesse rare. Les poses des personnages, les angles, les couleurs, les répliques, etc. Tout est impeccablement agencé.
3/3
Très bon manga, salué par la critique au Japon.⤵️ https://t.co/J0FPXCQxr6
Le line-up du numéro de novembre 1979 de la revue "Again" a de quoi impressionner : Ôtomo Katsuhiro, Azuma Hideo, Sakaguchi Hisashi, Hisauchi Michio, etc.
La fin progressive du gekiga et le début du courant New Wave dans le manga contemporain.
Tout ça pour dire que les éditions J'ai Lu qui ont fait ça pendant un moment ont repris, inconsciemment certes, cette tradition qui visait à habituer son jeune lectorat à lire dans les cases dans le bonne ordre.
Ils ont d'ailleurs arrêté au bout de quelques années.
"Hoshi dans le jardin des filles" de Wayama Yama est enfin sorti en version française. Je suis toujours séduit par la capacité de cette autrice à faire émerger du décalage au sein d'environnements standardisés.
L'un des meilleurs titres actuellement publiés.👍 https://t.co/RslpjFlfVk
C'est sans doute dû au côté "huis-clos" du récit, qui se déroule justement dans cette "maison des maiko" dans laquelle le temps semble s'être arrêté.
"Tout plaquer et partir à Kyôto pour devenir maiko".
C'est un peu l'histoire de Kiyo et Sumire qui, chacune à leur manière, vont trouver leur place dans une yakata.
Excellent manga. https://t.co/CUIaUruD2p
"Paris = la capitale des fleurs" 「花の都パリ」
L'expression est un peu désuète aujourd'hui, mais dans les années 1950 et 1960, c'était sans doute la première chose à laquelle pensaient les Japonaises quand on évoquait la France.
Ex. dans "Tôkyô-Paris" de Takahashi Makoto (1956). https://t.co/lqawZpHzNI