[01/07/2022], Azuma Hideo, « Chaos Note » (2014)
Peut-être le visage le plus minimaliste et le plus surréaliste de l'oeuvre d'Azuma. À la fin de sa vie, dégagé de toute obligation narrative, il laissait libre court à ses hallucinations. Magnifique !
[02/07/2022], Azuma Hideo, « Shissô Nikki 2 - Aruchû Byôtô » (2013)
La suite du "Journal d'une disparition" d'Azuma. On y suit son séjour en cure de désintoxication contre l'alcool, toujours sur ce ton détaché qui était sa marque de fabrique.
[03/07/2022], Ôwada Hideki, « Mudazumo naki kaikaku » (2006-2015)
Dans l'univers parallèle des revues de mangas de mahjong, il existe ce titre dans lequel l'ancien Premier ministre Koizumi affronte à ce jeu de société les dirigeants mondiaux les plus redoutables.
[04/07/2022], Ikegami Ryôichi, « Supaidâman » (1970-1971)
L'un des premiers mangas de Ikegami. Pas une histoire de yakuzas dont il est aujourd'hui le spécialiste, mais une réinterprétation de Spider-man. Entre le récit horrifique et le journal intime.
[05/07/2022], Shimamoto Kazuhiko, « Asuka@miraikei » (2009-2010)
Plutôt connu comme un auteur de mangas comiques, Shimamoto s'essaie à la comédie SF dans ce récit très classique où un nouvel élève arrive en cours d'année dans un lycée et annonce à sa classe qu'il vient du futur.
[06/07/2022], Yokoyama Masamichi, « Iroke mangan » (1979)
Yokoyama est le spécialiste du contournement de la censure japonaise. Même les tuiles de mahjong peuvent devenir prétexte à toutes les interprétations...
(c'est à peu près le pitch de ce manga😅)
[08/07/2022], Kobori Yô, Kanô Seisaku, « Hittorâ no musuko » (1980)
Les nazis ont survécu et Hitler a été cloné ! Heureusement, les services secrets israéliens sont sur le coup.
Un bon nanard en gekiga, soutenu par les beaux dessins de Kanô Seisaku.
[09/07/2022], Motomiya Hiroshi, « Otoko ippiki gaki daishô » (1968-73)
L'un des premiers succès de la revue "Jump" était déjà un manga de bagarre entre garçons. Des rivalités qui s'étendent sur 20 tomes + un dessin animé + un film live.
[10/07/2022], Kariya Tetsu, Ikegami Ryôichi, « Otoko- gumi » (1974-79)
La réponse de la revue "Sunday" au manga précédent🔼. Le tout dans une violence amplifiée par des techniques d'arts martiaux, des armes... et beaucoup de morts.
En voyant le nom de Furuya sur la couverture, j'avais un peu d'espoir pour cette biographie d'Akihito. Hélas, le résultat ressemble plutôt à une hagiographie, très lisse et sans saveur.
1/x
[11/07/2022], Sagara Shunsuke, Sonoda Mitsuyoshi, « Akatsuki Sentôtai » (1968-69)
Vous reprendrez bien un peu de kamikazes ?
Les exploits d’un petit régiment de l’armée de l’air japonaise basé en Nouvelle Guinée dont les membres sont constamment au combat contre des avions US.