En dehors des titres à licences bien connues (Pokémon, Duel Master, Kirby, etc.), se cachent quelques pépites du manga pour enfants, comme "Dodge Danpei" (1989-1995), qui accomplit l'exploit de rendre sexy des parties de balles aux prisonniers.
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Ou "Rajikon Boy" (1983-1989) qui relève un autre challenge tout aussi risqué : mettre en images de tournois de voitures télécommandés par des enfants.
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Mon préféré, c'est "Game Center Arashi" (1979-1983) qui a été publié au moment de la première fièvre du jeu d'arcade au Japon.
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Mieux que les grands discours sur la paternité, les petits tracas du quotidien que dessine Jean-Paul Nishi sont la meilleure façon de raconter la réalité des papas. Difficile de ne pas s’y reconnaître !
Sinon c'était pas mal ce premier tome de "Saint Seiya Rerise of Poseidon". J'ai du mal avec les itérations postérieures au manga original, mais j'apprécie ici le travail de Suda Tsunakan qui émule le trait Kurumada en le rajeunissant un peu.
J'ai lu d'une traite les tomes publiés du "Vendeur du magasin de vélos". Un récit amoureux en apesanteur où la romance se conjugue avec la nourriture. Et quand l'adorable héroïne, Panko, ne mange pas, elle bave d'impatience en imaginant son repas. Gros succès (mérité) au Japon.
Dans le cadre du Lyon BD Festival, il y a actuellement des planches originales (enfin plutôt des reproductions fidèles) de "Beastars" et de "Bride Stories" que l'on peut admirer dans l'espace exposition de la FNAC Bellecour.
Méfiez-vous des enfants qui se déguisent en Frankenstein. Ça peut mal tourner.
Redécouvert au Japon il y a quelques années par des collectionneurs, "L'Enfant Frankenstein" est une perle d'épouvante qui mérité le détour. Même Itô Junji recommande !
Très beau manga qui suit trois soeurs ayant hérité d'une librairie de livres anciens dans le quartier de JInbôchô. Ça sent la poussière comme j'aime.
C'est assez amusant de lire les titres japonais tirés de l'anglais en caractères chinois. J'ai un peu la même impression que quand je tombe sur des titres canadiens de films US.
Sinon, vous pouvez admirer la mise en page "économe" qui consiste à insérer 4 pages à la fois !
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Dragon Ball a ainsi droit à 4 chapitres sur seulement 14 pages.
Le mélange des genres est troublant puisqu'entre les séries issues du Jump, on trouve un manga de Kanô Seisaku que j'ai du mal à identifier ou le "Kamen Rider" d'Ishinomori.
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À la fin de la revue sont publiées quelques mangas qui paraissent dessinés par des auteurs locaux.
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