[05/10/2022], Inoue Yôsuke, « Chikatetsu densha » (1969)
Inoue est plutôt connu comme illustrateur de livres pour enfants, mais il a commencé sa carrière d'artiste en tant que mangaka, dans des revues de gekiga (érotiques).
[01/10/2022], Kajiwara Ikki, Shôji Toshio, « Nekketsu Môretsu kisha » (1971)
Un jeune journaliste énervé a une manière plutôt originale de mener ses investigations...
(manga publié dans le supplément dominical du journal appartenant au Kômeitô)
[27/12/2022], Ichinose Tadashi, « The Hustler » (1989)
Pas facile de mettre en image un sport où des boules roulent sur un tapis. Ichinose s'en sort très bien, grâce à de jolis angles et une tension dramatique de chaque instant.
[20/12/2022], Nishi Yûji, Hikino Shinji, « Minna no basu » (2007)
Akina est une guide de bus touristique qui travaille (en secret) en duo avec son père au volant.
Ils doivent parfois gérer des clients mécontents, radins ou juste méchants.
[19/12/2022], Yamada Kôichi, Kimura Kôichi, « kakushi-kyû gan-san » (1997-1999)
Après avoir épuisé toutes les sortes de mangas de baseball, les Japonais ont conçu des récits para-sportifs, comme celui-ci, qui se concentre sur le recrutement de perles rares.
Les discussion furent fécondes et je crois que la version imprimée que nous proposons permet d'établir des ponts assez inédits sur le sujet.
J'ajoute que le livre est richement illustré.
3/x
[16/03/2022] Ishinomori Shôtarô Pro, Yamazaki Yasuo, « Shin Nihon Keizai Nyûmon - Chûgoku ga kurasshu suru hi » (2005)
La version 21e siècle de la célèbre "Introduction à l'économie japonaise en manga". On y imagine une future crise chinoise qui déstabiliserait le monde.
[11/06/2022] Hiramatsu Shinji, « Mâdâ Raisensu Kiba » (1988-1994)
Kiba Yûji est le seul citoyen japonais à détenir une licence de tuer. Aux ordres du premier ministre, il effectue des missions secrètes visant à éradiquer les ennemis de la nation (terroristes et autres espions).
[17/09/2022], Kimoto Shôji, Asaoka Kôji, « Comic J.F. Kennedy » (1969-1970)
La biographie de Kennedy en version gekiga ? Ça existe.
Asaoka l'a fait à la fin des années 1960.
[18/11/2022], Shinasaka Kôji, « Juken no teiô » (1997-2000)
Ces fameux examens d'entrées qui occupent l'esprit des élèves, même lorsqu'ils veulent se détendre en lisant un manga.
J'attends impatiemment l'équivalent français avec les choix cornélien des lycéens sur Parcoursup.
[30/10/2022], Morioka Kan, Watanabe John, « Manga de Nyûmon ! Kaisha no sûji ga omoshiroi hodo wakaru hon » (2012)
Vous aimez la comptabilité d'entreprise ? Vous aimez les mangas ? J'ai le livre qu'il vous faut.
C'est sans doute dû au côté "huis-clos" du récit, qui se déroule justement dans cette "maison des maiko" dans laquelle le temps semble s'être arrêté.