[22/10/2022], Satô Gen, « Famikon tanteidan » (1986-1987)
Au pic du phénomène de société qu'avait engendré le succès de la console de Nintendo, un manga mettait en scène un groupe d'écoliers-enquêteurs résolvant des mystères grâce aux jeux vidéo.
[25/10/2022], Shintaki Kaoru, « Futari-daka » (1981-1985)
L'histoire d'une rivalité à motos entre deux garçons échangés à la naissance. L'adaptation en dessin animé est connue en France sous le titre "À plein gaz". 🏍️💨
[22/08/2022], Matsumoto Kôji, « Kûdetâ kurabu (Coup d'État Club » (2000-2002)
Le parcours initiatique d'un lycéen un peu pataud, Jun, qui découvre en même temps le travestissement, la sexualité et la révolution.
Par l'auteur de "Higanjima", dont c'est la première oeuvre publiée.
[31/10/2022], Sugaya Mitsuru, « Konnichiwa Nyû media N-M to kiite iratsuku hito e » (1984)
Vous n'y comprenez rien aux "nouveaux médias" des années 1980, mais vous avez quand même envie d'être à la page ? Ce manga est (était) pour vous.
[09/12/2022], Kobayashi Yoshinori, « Gômanizumu sengen » (1992-2000)
Puisqu'en ce moment on parle d'auteurs sulfureux, n'oublions pas Kobayashi, dont la carrière a pris un tournant inattendu et réactionnaire avec son "manifeste pour l'orgueillisme".
[05/04/2022], Kondô Takami, « Dreams - Yume wa ôzora e, doryoku wa ashimoto e » (2004)
Improbable manga sur le destin d'un entrepreneur tellement ambitieux qu'il s'est fait dessiner sa biographie en manga via l'éditeur Jive. Tout est possible (si on on a de l'argent).
[08/10/2022], Sasaki Yuna, « Amanure Eve » (2007)
Autour de 2007, le shôjo manga est pris pour cible par plusieurs articles de presse qui dénoncent alors les scènes de sexe qui auraient envahi des magazines pourtant destinés aux mineures.
« Amanure Eve » fait partie des accusés.
Dragon Ball a ainsi droit à 4 chapitres sur seulement 14 pages.
Le mélange des genres est troublant puisqu'entre les séries issues du Jump, on trouve un manga de Kanô Seisaku que j'ai du mal à identifier ou le "Kamen Rider" d'Ishinomori.
3/x
Exemple avec ces visages en médaillons, présents dans les bulles, qui ont deux fonctions :
- rappeler qui est le locuteur (au cas où)
- ajouter une tonalité au texte, façon emoji.
[12/12/2022], Terashima Keiji, « Umajirô ga yattekuru » (1972)
Pas facile d'avoir une tête de cheval.
Éleve d'Akatsuka Fujio, Terashima a le même goût pour l'absurde. C'est son premier manga publié.
[16/12/2022], Kajiwara Ikki, Yokoyama Masamichi, « Tokkô 3man mêtoru » (1968)
La sueur et les larmes (2).
Du même dessinateur🔼, un senki-mono manga sur les missions spéciales kamikaze pendant la bataille d'Okinawa.
[14/11/2022], Hara Hidenori, « Sayonara Sankaku » (1981-1984)
Comédie sentimentale en milieu scolaire, publiée dans "Sunday", "Sayonara Sankaku" raconte les déboires amoureux d'un lycée médiocre dans le Japon des années 1980.